Il prétend vacciner son beau-père contre le Covid, ce qui se trouve en réalité dans la seringue relève du cauchemar

Publié le 21 octobre 2024 par: Être Heureux #etrehrx

Le calvaire vécu par Patrick O’Hara, un homme de 72 ans, est digne des récits les plus sombres de la fiction.

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Sa mésaventure a débuté en janvier 2024, lorsqu’un faux infirmier, qui s’est révélé être son beau-fils, lui a administré une injection toxique sous couvert d’un rappel de vaccin contre le Covid-19.

Cet acte délibéré, visant à l’éliminer pour des raisons d’héritage, a failli lui coûter la vie, comme le rapporte le Daily Mail.

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Une Injection Douloureuse et Traumatisante

L’expérience traumatisante a débuté par une injection extrêmement douloureuse. « Je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi douloureux de ma vie, » a confié Patrick O’Hara lors de son témoignage devant le tribunal de Newcastle.

Les conséquences de ce geste criminel se sont rapidement manifestées, son bras développant des brûlures et des cloques atroces, symptômes d’une infection par une bactérie mangeuse de chair.

Un Complot Familial aux Conséquences Dramatiques

Le responsable de cette horreur n’était autre que Thomas Kwan, le beau-fils de Patrick, qui avait ourdi ce plan machiavélique pour se faire intégrer au testament de sa mère, la compagne de Patrick.

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Se déguisant en infirmier et utilisant un faux diplôme, il a injecté à Patrick un mélange mortel de bactéries et de poisons, incluant du mercure et de l’arsenic.

Ce geste a conduit à l’amputation du bras de Patrick et à un séjour prolongé en soins intensifs, un destin cruel orchestré par un proche devenu ennemi.

La Révélation d’un Plan Diabolique

Ce n’est qu’après l’arrestation de Thomas Kwan que l’étendue de son plan diabolique a été mise en lumière. Initialement, il avait nié les faits, mais face aux preuves accablantes, il a finalement plaidé coupable.

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Le procureur a dépeint ce scénario comme l’un des complots criminels les plus élaborés de l’histoire récente, révélant même l’existence d’un plan B pour éliminer sa cible avec d’autres poisons trouvés chez lui.

Suivant: « On m’a dit que c’était mes règles : j’ai un cancer du col de l’utérus et voici les signes que les médecins ont ignorés »
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