Marc Lavoine a surpris son père en plein ad*ltère, « tout le temps, avec la voisine », ses tristes confidences

Publié le 30 avril 2025 par: Être Heureux #etrehrx

Ce dimanche 27 avril, dans l’émission « Un dimanche à la campagne », Marc Lavoine a livré un témoignage d’une rare intensité.

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Derrière son image de chanteur romantique et mystérieux, il a dévoilé un pan méconnu et bouleversant de son enfance, marqué par une trahison familiale dont les échos résonnent encore en lui.

Frédéric Lopez recevait cette semaine, dans sa maison de campagne, l’écrivain Philippe Besson, la comédienne Constance et le chanteur Marc Lavoine. Comme souvent dans l’émission, les invités ont laissé tomber les masques pour partager des fragments intimes de leur parcours. Cette fois, c’est l’interprète de Je descends du singe qui a ouvert son cœur, en évoquant un souvenir douloureux, longtemps enfoui.

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Le choc d’un enfant confronté à l’adultère

Marc Lavoine avait une dizaine d’années lorsqu’il a surpris son père en train de tromper sa mère avec une voisine. La scène s’est déroulée un jour d’enterrement, celui de son grand-père, dans un moment de solitude enfantine transformé en révélateur cruel. Alors qu’il jouait au ballon près de la maison, celui-ci roule dans une remise. Il entre, soulève un rideau, et c’est là que tout bascule.

« Je vois les pieds d’un homme contre une femme », se souvient-il. « Et je vois mon père en train de faire l’amour à une fille. »

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Une scène gravée à jamais dans sa mémoire

Ce qu’il voit ce jour-là ne sera jamais oublié. Son père, pris sur le fait, lui lance simplement : « Oh, Marco… Je suis malheureux. » Puis il referme le rideau, comme pour effacer ce qui ne peut plus être tu. Mais le jeune Marc, lui, est resté seul face à ce poids, tenant son ballon comme un fardeau. Ce dernier deviendra le symbole d’un souvenir qui ne cesse de le hanter.

« Je tape dans le mur, et le ballon résonne dans ma tête jusqu’à aujourd’hui », confie-t-il avec émotion.*

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Le silence comme refuge forcé

Pris en étau entre ses deux parents, le garçon comprend instinctivement qu’il doit se taire. D’un côté, sa mère discute à l’étage avec le mari de la femme adultère ; de l’autre, son père, en bas, lui impose un secret trop grand pour ses épaules d’enfant. Ce jour-là, le monde s’effondre sur lui, et il lui faut pourtant continuer à marcher, à vivre, à ne rien dire.

« Je ne pouvais rien dire à ma mère, ni dénoncer mon père. C’était un immeuble entier qui me tombait sur la tête », raconte-t-il avec pudeur.*

Une confession empreinte de douleur et de retenue

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Aujourd’hui, avec la disparition de sa mère, Marc Lavoine semble avoir trouvé la force de libérer ce souvenir, non pas dans un élan de règlement de comptes, mais avec la volonté de raconter une blessure fondatrice. Une vérité tue pendant des décennies, et qui éclaire d’un jour nouveau la sensibilité de l’artiste, sa mélancolie, et son rapport au silence.

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