« On est toujours potes mais… » : l’ex-batteur de Matthieu Chédid balance ses vérités piquantes sur le chanteur

Publié le 23 mai 2023 par: Être Heureux #etrehrx

Le célèbre batteur Cyril Atef, connu pour son travail avec M., s’est récemment confié à Télérama, dévoilant des détails croustillants sur sa relation actuelle avec le célèbre chanteur. Ayant collaboré avec M. de 1998 à 2010, Atef se souvient des « plus belles années » de leur amitié. Cependant, il affirme que lorsqu’il entend les nouvelles chansons de M., il ne ressent plus aucune excitation. « Je l’ai vu aux Folies Bergère l’été dernier, c’était super bien réalisé, mais ça m’ennuie. Tout est trop millimétré, il n’y a plus de place pour l’improvisation.

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Je suppose qu’il gagne tellement d’argent maintenant… À moins que je sois juste devenu un snob ! » Des confidences percutantes qui ont fait sensation compte tenu de la renommée de l’artiste en question. En effet, Cyril Atef a eu l’opportunité de collaborer avec des géants de la musique tels que Louis Bertignac, Alain Bashung et Gotan Project. Le musicien ne tarit pas d’éloges sur ces expériences enrichissantes. « En 2021, j’ai eu le privilège de participer au magnifique album De todas las flores de la talentueuse Natalia Lafourcade, grâce au réalisateur musical Adan Jodorowsky.

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J’ai eu l’occasion de jouer avec elle au prestigieux Carnegie Hall de New York, une opportunité que peu de musiciens ont la chance de vivre dans leur vie. » Cyril Atef, dont la carrière musicale incroyable a commencé dès l’âge de 3 ans, se demande encore pourquoi le rythme l’a captivé si tôt. « Je tapais sur des cartons, des caisses ; j’ai bricolé ma petite batterie et pris des cours dès l’âge de 6 ans… Je me souviens que mon père, qui travaillait dans le bâtiment, tapait des rythmes sur le volant de la voiture… Peut-être que ça vient de là ? En tout cas, moi aussi, j’ai commencé à taper comme un fou furieux », confie-t-il, rappelant ses influences variées.

« J’étais un adolescent qui sortait de ses années punk – j’adorais le groupe Bad Brains. Mais ce soir-là, avec Fela, j’ai découvert une autre façon de jouer de la musique. Chaque morceau durait une demi-heure, l’orchestre était gigantesque, il y avait tout un rituel… C’est à ce moment-là que j’ai su que je voulais apprendre l’afrobeat, et ce rythme ne m’a plus jamais quitté. »

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