« Pas du tout » : Damien Thévenot parle trop vite sur Michel Blanc, Thierry Lhermitte le recadre
Publié le 22 novembre 2024 par: Être Heureux
Le 3 octobre, le monde du cinéma français a perdu l’un de ses acteurs les plus emblématiques, Michel Blanc. Sa mort soudaine a laissé un vide immense parmi ses amis et collaborateurs.
Avant de nous quitter, Michel Blanc avait contribué à l’écriture de l’ouvrage « Le Splendid par le Splendid, nous nous sommes tant marrés ! », qui se veut un hommage vibrant à l’amitié et à la collaboration entre les membres de cette troupe légendaire.
Michel Blanc, acteur de renom et figure clé de la troupe du Splendid, a laissé derrière lui des écrits intimes publiés dans le livre récemment sorti.
Ses textes, qu’il décrivait comme des « lettres d’amour qu’on s’écrit les uns aux autres », dévoilent la profondeur des liens tissés au fil des années au sein de ce collectif d’artistes.
Le livre, sorti posthumément le 21 novembre, offre une plongée dans l’histoire de ces collaborations célèbres, racontée par ses compagnons de toujours.
Derniers Échanges et Souvenirs Partagés
Peu avant sa disparition, Michel Blanc a reçu le bon à tirer du livre, un geste symbolique de la part de Thierry Lhermitte qui espérait partager une dernière fois le fruit de leur travail commun.
Lhermitte, dans une interview pour Le Parisien, partage son incertitude quant à savoir si Blanc avait eu le temps de lire ces lignes finales, un moment poignant qui souligne l’aspect soudain de la perte.
Un Caractère Fort et des Rôles Mémorables
Dans une apparition sur Télématin, Thierry Lhermitte a rendu hommage à la carrière diverse et réussie de Michel Blanc, démentant l’idée qu’il aurait été enfermé dans son rôle culte de Jean-Claude Dusse dans Les Bronzés.
Avec véhémence, Lhermitte a insisté sur la richesse de la carrière de son ami, balayant les stéréotypes réducteurs qui pourraient l’accompagner.
La Beauté dans l’Écriture et le Deuil
L’admiration de Thierry Lhermitte pour les écrits de Blanc est palpable. Il décrit l’expérience de lecture des œuvres de Blanc comme « magnifique et dingue », soulignant l’émotion brute qui transparaissait dans ses mots.
Cette révélation sur la méthode d’écriture indépendante de chacun des membres de la troupe ajoute une couche d’authenticité à leurs récits interconnectés.